Les données qui racontent votre histoire financière
Depuis dix ans, on analyse les chiffres pour des centaines d'investisseurs canadiens. Pas seulement pour compiler des rapports — pour comprendre ce qui fonctionne vraiment dans un portefeuille. Les tendances changent, les marchés fluctuent, mais les principes restent. On vous aide à voir au-delà des graphiques.
Avant de commencer
Les questions qu'on nous pose lors des premières rencontres
Comment interpréter les rendements historiques?
Les performances passées ne garantissent rien pour l'avenir, c'est vrai. Mais elles révèlent des patterns de comportement, des réactions aux crises, des périodes de volatilité. On regarde surtout comment un actif se comporte quand tout va mal.
Pourquoi certains portefeuilles résistent mieux aux turbulences?
La diversification est une réponse évidente, mais incomplète. Ce qui compte aussi : la corrélation entre les actifs, les stratégies de rééquilibrage, et parfois simplement la patience des investisseurs qui ne paniquent pas au premier recul.
Quelles statistiques sont vraiment utiles?
On se concentre sur le ratio de Sharpe pour mesurer le rendement ajusté au risque, la volatilité maximale pendant les périodes difficiles, et la durée des phases de récupération. Ces trois éléments donnent une image plus complète que le simple rendement annuel.
Pendant l'analyse
Ce qu'on découvre ensemble en examinant vos données
À quelle fréquence faut-il vérifier les chiffres?
Trop souvent, et vous risquez de réagir à chaque fluctuation quotidienne. Pas assez, et vous manquez les signaux importants. Pour la plupart des investisseurs, un examen trimestriel suffit amplement. Les marchés bougent chaque jour — votre stratégie, non.
Comment repérer les déséquilibres dans un portefeuille?
Un secteur qui prend trop de poids après une forte hausse. Des obligations qui ne jouent plus leur rôle de stabilisation. Des frais de gestion qui grugent les rendements. Parfois, c'est aussi simple qu'un décalage entre vos objectifs actuels et votre allocation d'actifs.
Pour le long terme
Les réponses qui changent avec le temps et l'expérience
Qu'est-ce qui différencie les investisseurs qui réussissent?
D'après nos observations depuis 2015, c'est rarement la capacité à prédire les marchés. C'est plutôt la discipline de rester fidèle à un plan, même quand les nouvelles sont mauvaises. Et l'humilité d'ajuster quand les circonstances personnelles changent vraiment.
Les statistiques peuvent-elles prévoir les crises?
Non, et méfiez-vous de ceux qui prétendent le contraire. Ce qu'elles font bien : montrer quand les valorisations deviennent extrêmes, quand la complaisance s'installe, quand les corrélations changent. Ce sont des signaux d'alerte, pas des boules de cristal.
Des rapports qui clarifient plutôt qu'intimider
Trop de rapports financiers ressemblent à des devoirs de mathématiques. Graphiques complexes, acronymes partout, conclusions vagues. On a choisi une autre direction.
Nos analyses commencent toujours par une question simple : qu'est-ce que vous devez vraiment savoir? Ensuite, on construit autour de ça. Pas de remplissage, pas de tableaux juste pour impressionner.
Notre principe de transparence
Chaque chiffre qu'on vous présente vient avec son contexte. Une hausse de 8% semble bonne — mais par rapport à quoi? Dans quel environnement de marché? Avec quel niveau de risque? On ne laisse jamais les statistiques parler seules.
Cette approche prend plus de temps à préparer, c'est certain. Mais elle change complètement la qualité des conversations qu'on peut avoir ensuite. Vous comprenez non seulement où vous en êtes, mais pourquoi et comment ajuster si nécessaire.